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Les accessoires indispensables du clarinettiste

Vous avez investi dans une belle clarinette et vous vous réjouissez de pouvoir en jouer. Mais pour pratiquer votre instrument de manière optimale et durable, il ne suffit pas d’avoir une bonne clarinette. Tout un écosystème d’accessoires est nécessaire pour assurer le confort, la protection et la qualité de votre jeu.

Des becs aux anches en passant par les étuis et les supports, ces accessoires sont les alliés indispensables de tout clarinettiste, débutant ou confirmé. Bien les choisir et les entretenir vous permettra d’avancer plus rapidement dans votre apprentissage de la clarinette, de prendre plus de plaisir à jouer et de préserver votre instrument sur le long terme.

Les accessoires liés à l’instrument

Commençons par les accessoires qui se fixent directement sur la clarinette et qui influencent directement la production du son : le bec, l’anche et la ligature.

Les becs

Le bec est la pièce sur laquelle on fixe l’anche et qui reçoit le souffle du musicien. C’est un élément crucial qui conditionne en grande partie le timbre, la justesse et la facilité d’émission.

bec clarinette

Il existe différents matériaux de becs :

  • L’ébonite (ou caoutchouc durci) : c’est le matériau le plus courant pour les becs d’études ou intermédiaires. Il offre un bon compromis entre confort, précision et richesse sonore.
  • Le bois : plus rare et plus cher, il apporte de la chaleur et de la profondeur au son, mais il est aussi plus fragile et plus sensible aux variations hygrométriques.
  • Le cristal ou le verre : utilisés pour les becs haut de gamme, ces matériaux assurent brillance, clarté et précision au son, mais ils demandent aussi un contrôle fin de l’embouchure.
  • Le plastique : on le trouve sur certains becs d’étude abordables. S’il est moins noble que l’ébonite ou le bois, il offre tout de même une bonne qualité de son et une durabilité appréciable.

Au-delà du matériau, il faut être attentif à l’ouverture (distance entre la pointe et la table) et à la longueur de table du bec. Une ouverture plus grande facilite l’émission mais demande plus de maîtrise, une table plus longue favorise la précision mais peut réduire la souplesse.

Votre professeur de clarinette est le mieux placé pour vous guider dans le choix d’un bec adapté. Il faut parfois en essayer plusieurs pour trouver celui qui correspond le mieux à sa morphologie et à sa sensibilité. Un clarinettiste professionnel a souvent plusieurs becs adaptés aux différents répertoires (classique, contemporain, jazz…).

Enfin, un bec demande un minimum d’entretien : il faut le nettoyer après chaque utilisation avec un chiffon doux ou des lingettes spéciales, pour enlever l’humidité et la salive. Avec des précautions, un bon bec peut vous accompagner pendant de très nombreuses années.

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Pour bien choisir votre bec, n’hésitez pas à en essayer plusieurs, même d’occasion ou en location. Beaucoup de magasins proposent ce service. C’est le meilleur moyen de trouver celui qui convient à votre morphologie et à votre style de jeu. Prenez le temps de comparer la facilité d’émission, la qualité du son, la justesse. Et écoutez les conseils de votre professeur, qui saura vous guider en fonction de votre niveau et de vos objectifs.


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Les anches

Les anches de clarinette sont le pendant indispensable du bec. C’est la vibration de l’anche sous l’effet du souffle qui produit le son de la clarinette.

debuter la clarinette anches clrinettes

Il existe deux grands types d’anches :

  • Les anches en roseau naturel : c’est le choix le plus classique et le plus répandu. Fabriquées à partir d’une plante méditerranéenne (l’Arundo Donax), elles assurent un son riche et nuancé. Mais elles sont fragiles et s’usent assez rapidement (une anche dure en moyenne 2 à 3 semaines pour un clarinettiste régulier).
  • Les anches synthétiques : apparues plus récemment, elles sont faites en matériau composite (fibre, résine…) et cherchent à reproduire les qualités du roseau naturel. Plus durables et plus stables, elles sont appréciées des clarinettistes qui jouent beaucoup en extérieur ou dans des conditions humides. Mais leur son est souvent un peu moins organique et expressif.

Les anches sont classées par force (de 1 à 5), c’est-à-dire par résistance au souffle. En début d’apprentissage, il vaut mieux choisir une anche souple (1,5 ou 2) pour ne pas se décourager. On passe progressivement à des anches plus dures (2,5, 3) pour gagner en précision et en puissance sonore.

Il existe de nombreuses marques d’anches (Vandoren, la marque la plus connue, Rico…), avec des modèles plus ou moins adaptés à chaque style musical. N’hésitez pas à tester différentes marques et forces pour trouver celles qui vous conviendront le mieux.

Quant à l’entretien des anches, c’est tout un art ! Il faut les manipuler avec précaution, les humidifier avant de jouer, les ranger dans un étui hermétique. Les anches en roseau demandent aussi un « rodage » progressif de quelques jours pour donner le meilleur d’elles-mêmes.

Avec l’expérience, vous apprendrez à choisir, à préparer et à ménager vos anches comme un outil précieux au service de votre son.

Les ligatures

La ligature est l’accessoire qui permet de fixer l’anche sur le bec. Son rôle est essentiel : elle doit maintenir l’anche avec fermeté, sans l’écraser, tout en lui laissant suffisamment de liberté vibratoire.

Il existe différents types de ligatures :

ligature clarinette
  • Les ligatures en cuir : c’est le modèle classique, qui offre une bonne tenue et un certain confort. Elles demandent un peu d’entretien (talc, cirage) pour rester souples et efficaces.
  • Les ligatures en métal : en nickel, en argent ou en plaqué or, elles sont solides et précises. Elles ont souvent des vis de réglages pour ajuster la pression. Certains clarinettistes leur trouvent un son un peu « froid ».
  • Les ligatures en tissu synthétique ou en caoutchouc : ce sont des modèles plus récents, qui cherchent à allier souplesse et maintien. Elles sont faciles d’entretien et d’utilisation.

Là encore, le choix d’une ligature est assez personnel. Il dépend du bec, de l’anche et des préférences du musicien. Certains aiment une tenue très ferme pour la précision, d’autres préfèrent plus de flexibilité pour le confort.

La ligature fait un peu figure de « parent pauvre » parmi les accessoires du clarinettiste. Et pourtant, une mauvaise ligature peut compromettre la qualité et la stabilité de votre son. Alors, ne la négligez pas dans votre « set-up » !

Les coussins et le liège

Terminons ce tour d’horizon des accessoires directement liés à l’instrument par deux éléments discrets mais importants, les coussins et le liège.

Les coussins (ou tampons) sont ces petites pièces de feutre, de cuir ou de caoutchouc qui garnissent l’intérieur des cheminées. Leur rôle est d’assurer l’étanchéité de la colonne d’air lorsqu’on appuie sur une clé. S’ils sont usés, déformés ou mal ajustés, cela crée des fuites qui nuisent à la justesse et à la qualité du son.

Le liège, lui, est collé à différents endroits de la clarinette : sur le tenon du barillet et des corps, sur le bouchon du pavillon. Il permet d’assembler les différentes parties de l’instrument avec précision et sans jeu. Avec le temps et les montages répétés, le liège s’use et doit être remplacé pour assurer une bonne étanchéité.

L’entretien des coussins et du liège fait partie de la « révision » périodique de la clarinette, qu’il est conseillé de faire faire tous les un à deux ans par un luthier qualifié. Cela permet de détecter et de corriger d’éventuels défauts d’usure ou de réglage, pour garder un instrument au top de ses capacités.

Entre deux révisions, le clarinettiste doit prendre soin de ses coussins et de son liège au quotidien : en nettoyant délicatement l’intérieur des cheminées, en évitant de forcer au montage, en graissant légèrement le liège si besoin. C’est la garantie d’un instrument fiable et étanche sur la durée.

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Quand vous nettoyez votre clarinette après avoir joué, portez une attention particulière aux coussins et aux cheminées. Avec un chiffon doux ou un coton-tige, essuyez délicatement l’humidité et la salive qui ont pu s’y accumuler. Cela évitera que les coussins ne collent ou ne s’abîment prématurément. Si un coussin fuit ou n’est plus étanche, n’attendez pas pour le faire remplacer par un luthier. C’est important pour la justesse et la réactivité de votre clarinette.

Les accessoires de transport et de rangement

Après les accessoires qui se fixent sur la clarinette, voyons ceux qui permettent de la transporter et de la ranger en toute sécurité. Car une clarinette est un instrument fragile, qui craint les chocs, l’humidité et les écarts de température. Il est donc essentuel de la protéger lorsqu’on la déplace ou qu’on ne l’utilise pas.

Les étuis

L’étui est le compagnon indispensable de toute clarinette nomade. C’est lui qui va la protéger durant les transports et lui offrir un cocon douillet entre les répétitions. Mais tous les étuis ne se valent pas ! Il existe trois grands types d’étuis :

  • Les étuis souples : en tissu rembourré ou en cuir, ils offrent une protection basique contre les chocs légers et les rayures. Légers et peu encombrants, ils sont appréciés pour les petits trajets. Mais ils ne mettent pas la clarinette totalement à l’abri des gros chocs ou des écrasements.
  • Les étuis rigides en bois ou en contreplaqué : véritables petits coffres capitonnés, ils assurent une excellente protection contre les risques de la route. En contrepartie, ils sont plus lourds et plus volumineux. Ils sont recommandés pour les longs trajets, les tournées ou les voyages en avion.
  • Les étuis en matériau composite (fibre de verre, carbone, polymères) : ils allient la solidité des étuis rigides et la légèreté des étuis souples. Résistants aux chocs et aux variations climatiques, ils sont très prisés des professionnels qui se déplacent beaucoup. Mais leur prix est souvent assez élevé.
etui clarinette

Au-delà de la protection, il faut être attentif à la forme de l’étui (pour qu’il épouse bien celle de la clarinette) et à ses rangements intérieurs (pour pouvoir y loger les accessoires : anches, chiffon, huile…). Certains étuis sont aussi équipés de roulettes, de bretelles ou de poignées pour faciliter le transport.

Le choix d’un étui dépend donc de plusieurs critères :

  • Le niveau de protection souhaité.
  • Le type de déplacements effectués.
  • Le volume de rangement nécessaire.
  • Le poids.
  • Le prix.

Les éclisses

Les éclisses sont ces petites cales en bois ou en liège qui s’insèrent à l’intérieur de l’étui, entre les différentes parties de la clarinette.

Leur rôle est double :

  • Protéger l’instrument des chocs et des frottements à l’intérieur de l’étui
  • Maintenir les différents corps bien en place pour éviter qu’ils ne s’entrechoquent

Les éclisses sont souvent fournies avec l’étui, mais il est parfois nécessaire de les ajuster ou de les remplacer pour qu’elles remplissent correctement leur office. Il faut veiller à ce qu’elles ne soient ni trop serrées (pour ne pas forcer sur les tenons au montage) ni trop lâches (pour que la clarinette ne « balotte » pas dans l’étui).!

Les kits d’entretien

Pour compléter le trio « clarinette-étui-éclisses », il est indispensable d’avoir toujours avec soi un petit kit d’entretien pour clarinette, à glisser dans une pochette de l’étui.

Ce kit comprend généralement :

  • Un chiffon en microfibre pour essuyer la clarinette après usage et enlever la condensation.
  • Un écouvillon pour nettoyer l’intérieur du corps et du barillet.
  • Un petit flacon d’huile pour graisser les tenons et les vis.
  • Une petite brosse pour dépoussiérer les cheminées.
  • Un « cure-pipe » ou fil chenille pour déboucher les trous.
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Ces accessoires permettent d’entretenir sa clarinette au jour le jour, où que l’on soit. Ils prolongent l’action du nettoyage et du séchage complets que l’on fait chez soi après chaque session de jeu.

En prenant ces précautions de transport et d’entretien, vous préserverez votre clarinette des aléas de la vie de musicien. Votre instrument vous le rendra au centuple, par sa fiabilité et sa longévité !

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Une bonne habitude à prendre : après chaque séance de jeu, démontez complètement votre clarinette et passez un coup de chiffon sec sur chaque partie. Insistez sur les tenons et les cheminées, qui accumulent facilement la condensation. Puis laissez sécher votre clarinette quelques minutes à l’air libre avant de la ranger dans son étui. Cette routine vous prendra tout au plus 5 minutes et assurera l’hygiène et la longévité de votre instrument.

Les accessoires high-tech

Le clarinettiste du XXIe siècle ne se contente plus de souffler dans un tuyau de bois ! À l’ère du numérique, toute une gamme d’accessoires high-tech vient enrichir et faciliter sa pratique.

Les applications pour smartphone

Le smartphone est devenu le couteau suisse du musicien nomade.

Grâce à de nombreuses applications dédiées, il permet d’emporter avec soi une foule d’outils utiles :

  • Un métronome pour travailler la régularité et le rythme.
  • Un accordeur pour vérifier et ajuster sa justesse.
  • Un enregistreur pour s’écouter et s’auto-évaluer.
  • Un lecteur de partitions pour stocker et annoter ses morceaux.
  • Des karaokés pour s’entraîner avec un accompagnement.

Il existe des dizaines d’applications de ce type, gratuites ou payantes, plus ou moins complètes et ergonomiques. Les plus connues sont Tonestro, Tempo, 3D Clarinette Doigté, Tunable, ForScore, SmartMusic…À vous de les tester et de choisir celles qui vous conviennent le mieux.

L’avantage des applications, c’est qu’elles sont légères, peu coûteuses et évolutives. Elles permettent d’avoir toujours avec soi une boîte à outils complète et interactive. L’inconvénient, c’est qu’elles peuvent aussi être une source de distraction et de dépendance. À utiliser avec modération !

Les systèmes d’amplification

Pour les clarinettistes qui jouent en situation de concert ou d’enregistrement, il peut être nécessaire d’amplifier le son de leur instrument pour s’adapter à l’acoustique de la salle ou au niveau des autres instruments.

Il existe pour cela des systèmes d’amplification spécifiques, composés d’un microphone (à fixer sur le pavillon ou à l’intérieur du barillet) et d’un petit préampli (à brancher sur une sono ou sur un ampli de puissance).

micro clarinette

Les micros pour clarinette peuvent être :

  • Des micros à condensateur : ce sont les plus courants et les plus fidèles. Ils captent le son par une membrane sensible et le restituent avec précision et clarté. Mais ils sont aussi sensibles aux bruits parasites et aux feedbacks.
  • Des micros à ruban : plus rares et plus chers, ils offrent un son plus chaud et plus rond, proche de celui d’un micro de studio. Mais ils sont aussi plus fragiles et moins puissants.
  • Des micros piézoélectriques : ce sont des capteurs qui se collent directement sur le corps de la clarinette et qui captent les vibrations du bois. Ils ont un son plus direct et plus percussif, mais moins naturel et moins aérien.

Le choix d’un micro dépend du style de musique, du niveau sonore recherché et du budget. Dans tous les cas, il est important de bien le positionner pour éviter les bruits de clé et les effets larsen, et de bien régler le préampli pour obtenir un son équilibré et homogène.

Un micro peut être un bon moyen de donner plus de présence et de projection à sa clarinette, surtout dans des contextes amplifiés. Mais il ne remplacera jamais le travail sur le son acoustique et sur la maîtrise de l’instrument.

Les systèmes d’analyse du jeu

Enfin, pour les clarinettistes les plus geeks et les plus perfectionnistes, il existe des systèmes high-tech qui permettent d’analyser en détail son jeu et de le corriger.

C’est le cas par exemple des capteurs de pression et de position des doigts, qui se fixent sur les clés et qui mesurent en temps réel la précision et la régularité du doigté. Reliés à une application mobile, ils permettent de visualiser ses forces et ses faiblesses, et de suivre ses progrès au fil du temps.

Dans le même esprit, il existe des logiciels d’analyse spectrale qui permettent de décortiquer le timbre et la justesse de chaque note, à partir d’un enregistrement audio. Ils détectent les défauts d’harmonicité, de stabilité ou d’attaque, et proposent des exercices ciblés pour y remédier.

Ces outils d’analyse peuvent être intéressants pour prendre conscience de certains aspects de son jeu et pour travailler de façon plus méthodique et rationnelle. Ils ont une vraie valeur pédagogique et scientifique.

Mais ils ont aussi leurs limites. D’abord, parce qu’ils ne mesurent que des paramètres quantitatifs et normés, sans tenir compte de la sensibilité et de l’intention musicale. Ensuite, parce qu’ils peuvent générer une forme d’anxiété et d’obsession de la perfection, au détriment du plaisir et de la spontanéité.

Comme tout accessoire high-tech, ils sont à utiliser avec discernement et parcimonie, en complément d’une pratique vivante et incarnée de l’instrument.

Conclusion

Nous voici au terme de notre panorama des accessoires indispensables au clarinettiste. Des becs aux micros en passant par les étuis et les micros, nous avons exploré toute une panoplie d’outils qui facilitent et enrichissent la pratique de cet instrument.

Ces accessoires ne sont pas de simples gadgets ou des options superflues. Ce sont de véritables prolongements de la clarinette et du musicien, qui participent pleinement à la qualité et au plaisir du jeu.

Bien choisir ses accessoires, c’est se donner les moyens de progresser dans de bonnes conditions, en préservant son instrument, son confort et sa santé. C’est aussi se faire plaisir et exprimer sa personnalité, en adaptant son matériel à ses goûts et à ses besoins.

Mais attention à ne pas tomber dans le fétichisme ou la surconsommation ! Un accessoire, même le plus performant, ne remplacera jamais le travail de fond et la musicalité. La clé du succès, c’est d’abord la régularité, la rigueur et la passion.

Alors, à vous de constituer votre set-up idéal, en fonction de votre niveau, de votre budget et de vos envies !

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Photo de Jordane Feuillet

Article proposé par Jordane FEUILLET

Pianiste depuis l'âge de 8 ans et passionné de musique, Jordane FEUILLET chante aujourd'hui dans plusieurs chœurs, où il continue de perfectionner sa voix de ténor. Curieux et amoureux du répertoire classique, il partage avec enthousiasme ses conseils pour accompagner les musiciens débutants et passionnés dans leur apprentissage.

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